La Marche des Fiertés, quoique puisse chercher à en faire l’État et les entreprises adeptes du « pinkwashing », n’est pas seulement une simple fête. C’est un événement politique. Et cette année, plus encore sans doute que les années précédentes, son caractère politique a retenti dans la capitale malgré les limites imposées par l’état d’urgence et l’Euro de football. Au son de milliers de voix, avoir le droit d’être et d’aimer.
Photo / Martín Noda |